Date de parution : 04/12/2013 Prix public : 16.95
€
Scénario :
Mike MIGNOLA Dessin :
Ben STENBECK Couleurs :
Dave STEWART Série :
Witchfinder Collection :
CONTREBANDE
Résumé éditeur
"Edward Grey est un chasseur de sorcières, engagé par la reine
Victoria comme agent privé, en charge d'enquêter sur des affaires
extraordinaires. Pour sa première mission, il quitte les beaux quartiers
pour les bas-fonds les plus sordides de la capitale. Ses proies : des
conspirateurs occultes, un monstre déchaîné et la société secrète la
plus abjecte qui soit, la Fraternité Héliopique de Ra."
'Y avait pas de scans en français, et je n'avais pas envie de bousiller mon bouquin. Je laisse ce soin à d'autres!
L'avis du VieuxGeek:
En lisant la postface de Mignola en fin de récit, on apprend qu'Edward Grey (et plus globalement des éléments de l'univers Witchfinder) a fait quelques micro-apparitions dans les séries Hellboy/BPRD/Abe Sapien. Je ressorts les-dits bouquins de mon étagère et vérifie le tout... Ok pour les méchants dans le mini-récit de BPRD (au passage, l'un des mieux de ce BPRD 1), Abe Sapien est en attente de lecture, et pas moyen de le retrouver dans Hellboy 2 (va falloir le relire, tant mieux!). On va donc dire OK au père Mignola et le croire sur parole.
Deux questions-réponses:
- Pourquoi Mignola ne dessine pas Witchfinder?
Parce que selon lui, dessiner l'époque victorienne n'est pas franchement facile, à cause du boulot de recherche pour être cohérent vis-à-vis des lieux, costumes, etc. Stenbeck, le dessinateur, s'en sort très bien.
- Bon, c'est bien alors?
Ca va. On retrouve les thèmes habituels de l'univers Hellboy. L'intrigue est bonne, les méchants (la Fraternité Héliopique de Râ) sont sympas (mais je préfère les vilains Nazis et Raspoutine...), l'histoire ce termine dans ce volume.
Petite remarque extrêmement subjective: je n'arrive pas à sentir le potentiel de cette série... Autant pour BPRD/Hellboy, j'ai accroché direct, mais là, pas spécialement...
Conclusion
Un bon petit album pour les collectionneurs des séries Hellboy, et pour les autres, un bon album Old School pour les amateurs d'horreur dans l'époque victorienne.
Hellboy
La Grande battue
10
Mike Mignola
Duncan Fegredo
03/2010 (Parution le 03/03/2010)
17,95€
Delcourt
Contrebande
Format comics Pages: 169
Résumé éditeur
Au plus profond de l'Angleterre, les
anciens géants se réveillent. Il est temps pour la Grande Battue,
ancestrale compagnie de traqueurs de monstres, de partir en chasse. Sur
invitation, Hellboy se joint à la curée... pour bientôt devenir lui-même
gibier. Trahi par la meute, il est jeté en pâture à la Reine de Sang.
Pour la vaincre, Hellboy devra-t-il se résoudre à endosser son héritage
démoniaque ?
Si tu le savais, tu te casserais vite fait!
L'avis du VieuxGeek: excellent
Et oui, un super album que ce tome 10. J'ai beau chercher des défauts, je ne lui en trouve pas. Plutôt bien, non? Allez, et c'est un défaut que je reproche à la série entière: il manque un véritable fil conducteur.Les histoires apportent à chaque fois un peu plus d'info sur Hellboy et son univers, il n'en manque pas moins un véritable fil rouge.
Concernant la grande battue, on a donc à faire à une histoire de haute volée. On en apprend plus sur la mère de Hellboy (et quelle révélation!), le scénar' est vraiment excellent.
Comme d'habitude, les méchants sont géniaux: la reine de sang, Gruagach (un elfe transformé en sanglier), le golem de pierre, les géants... Un sacré panel de vilains à castagner pour Hellboy!
Les personnages sont très travaillés. Mignola prend la peine de bien expliquer, pour rendre les différents persos intéressants (mon préféré étant ce pauvre Gruagach)
Bref, un de mes albums Hellboy préféré. Et Fegredo dessine tellement bien... Et ces couleurs!... Je suis fan de ces contrastes de couleurs. Bravo les gars. GG, comme écrivent les PGM.
Conclusion
Un très bon album, une bonne maitrise du scénario, un sacré coup de pinceau, de très bon personnages... En plus, y a même pas (trop) besoin d'avoir lu ceux d'avant.
Fiche technique Scénario: Mike Mignola Dessin: Jason Armstrong Editeur: Delcourt Collection: contrebande Série: Lobster Johnson (Univers de Hellboy/BPRD) Date de parution: 19/06/2013 Prix: 15,50 €
Résumé éditeur
Alors que les États-Unis d'Amérique sont à la veille de faire leur
entrée dans la Seconde Guerre mondiale, Lobster Johnson, dit le Homard,
accompagné de ses alliés, est occupé à combattre cannibales, yétis et
autres monstres, tous plus dangereux les uns que les autres. Sans
compter les plans diaboliques d'un mystérieux ennemi qui semble suivre
les commandements nébuleux d'une prophétie séculaire.
Lobster Johnson, alias Johnson le homard pour ceux qui ne connaissent pas leur anglais, nous narre les péripéties dudit héros dans le New York de 1937. Le homard se veut être un héro à la sauce pulp, c'est à dire populaire et pas trop prise de tête.
Concernant l'aspect pulp, c'est surtout au niveau des ennemis du homard que l'on tape dans le folklore populaire: gorille mutant, nazis vilains, et un Fu Manchu nostalgique de l’hyperborée.
Le perso de Jim Sacks (avec son armure Iron man version hyperboréene)
est vraiment bien réussi, et, personnellement, j'ai hâte de savoir
comment il évoluera dans la série.
Le homard est plutôt du genre expéditif, n'hésitant pas à trouer les crânes des ennemis. Beaucoup d'action dans ce tome, une histoire pas complexe (mais pas simpliste pour autant, donc très bien!), des illustrations à la Guy Davis/BPRD mais sans être du Guy Davis (dommage...).
Il faut bien avoir en tête que cet album n'explique rien des origine de Johnson. Peut-être dans un numéro futur, qui sait?
Ha oui, un gros point positif: c'est une histoire longue, qui nécessitera une suite. Ca tombe bien, j'ai vraiment du mal avec les histoires courtes Hellboy/B.P.R.D, fréquemment merdiques (oui, je suis dur).
Iron M... Euh... Jim Sacks dans son armure faisant la peau à un dragon.
Conclusion
Une bonne histoire (pas transcendante non plus), un univers qu'on aime, un héro qui marque ses ennemis vaincu d'une pince de homard au milieu de la courgette, un début de saga.
A lire si vous avez fini votre collection de B.P.R.D.
Que dieu vous bénisse, vous et les États-Unis d’Amériques.
Les tortues ninjas reviennent dans nos provinces chez les éditions Soleil! Simple re-boot de la série? Nouveauté? Éclaircissons un peu tout cela....
Les changements par rapport à... Avant.
Les origines des tortues sont revues entièrement, et permet
d’exploiter leur passé d’une manière totalement nouvelle. Les fans retrouvent
dans ces histoires les personnages principaux tels que Casey Jones, Shredder,
Karai, Krang, Baxter Stockman, avec des liens très différents. Les clins d’œil
aux univers passés sont très nombreux, et permettent aux fans d’anticiper
certains faits, tout en restant dans la mire d’une histoire entièrement revue.
Le premier volume sort aux États-Unis
le 24 aout 2011 et en France le 25 janvier. Soleil US Comics sort pour la France des comics,
regroupant quatre numéros américains avec parution tous les quatre à cinq mois.
LES TORTUES NINJA - Tome 1: Nouveau départ (résumé éditeur)
"Raphael a disparu, il erre dans les rues et tente de se remémorer son passé.
Ces trois frères, Donatello, Michelangelo et Leonardo et leur père spirituel,
Splinter, sont à sa recherche. Old Hob est également à leur trousse.
Tout a commencé cette fameuse nuit, au Stockgen research, un laboratoire de
recherches... Avant de revenir de vrais ninjas, les tortues n’étaient que de
simples cobayes destinés à tester la viabilité d’un sérum et Splinter, un rat
utilisé sur un autre programme de recherches. April o’Neal, étudiante stagiaire
fraichement arrivée au labo, est de garde lors de l’intrusion de ninjas. Venus
récupérer ces spécimens, les ninjas sont interrompus dans leur fuite par
Splinter et lâchent leur butin.
En tombant, les tortues, le rat et un chat errant se retrouvent baignant dans
un liquide mutagène, la transformation se produit... Il leur faut fuir et se
mettre à l’abri. Une tortue manque à l’appel..."
Voilà en gros pour le speech de base du livre 1. La suite nous permettra de rencontrer les vilains par le biais de diverses aventures.
L’avis du VieuxGeek : très bien
C’est avec plaisir que je redécouvre les tortues ninjas
( cliquez ici pour que votre cerveau soit parasité pendant une demi-journée entière), plus de vingt ans après leur diffusion télé
en France. Force est de constater que cette nouvelle mouture propose une
version plus ado/adulte de l’universoriginal. La série est de très bonne qualité dans l’ensemble, au niveau du scénario et du dessin.
Mais comme dans tout comics US qui se respecte, les dessinateurs ont la flemme
et passent le relai au premier venu au bout de quelques numéros.
Allez hop, une critique subjective à mort de chaque volume :
Avis et critique du volume 1
Waltz, Tom
& Eastman, Kevin Eastman, Kevin
& Duncan, D. Pattison, Ronda
01/2012 Soleil Productions
Soleil US Comics
Format comics 128
Les bases de l’histoire sont très cohérentes (on parle des
tortues ninjas, ne l’oublions pas !), et sont plus orientéesvers un public jeune adulte. Et c’est tant
mieux ! On n’a plus 8 ans !
Le dessin est agressif, est contribue fortement à l’ambiance
baston de l’histoire.
Dans ce volume, on croise Casey Jones (un sociopathe qui
sort fracasser des voyous avec un masque de hockey genre vendredi 13), Baxter
Stockman, April O’ Neil, Krang (vite fait) et Old Hob, que je ne
connaissais pas du tout.
Ha... Quel plaisir de retrouver ces tortues!
Avis et critique du volume 2
Waltz, Tom
&
Eastman, Kevin Duncan, D.
&
Eastman, Kevin Santolouco, Mateus Parution le 20/06/2012 Soleil Productions
Soleil US Comics
Format comics 128
Bon livre. On apprend le comment et le pourquoi de la
réincarnation karmique de Splinter et des Tortues. L’histoire suit son court,
le grand méchant du livre étant les petites machines bouffe-tortues de Stockman.
Avis et critique du volume 3
Fiche technique idem que le T.2 sauf :
10/2012 (parution en même temps en gros)
Bon livre encore. Et tant mieux ! On voit Schredder et
sa fille, on en apprend plus sur le clan des pieds. Pardon : le Foot Clan.
Petit bémol : beaucoup de scène n’ayant lieu dans aucuns volumes
précédents sont citées. On s’y perd, et c’est parfois chiant. On a l’impression
de lire un Spider-man (genre: Cf. volume 354, 793, ainsi que Spidey n°4908).
Avis et critique du volume4
Eastman, Kevin &
Waltz, Tom Kuhn, Andy Kuhn, Andy & Eastman, Kevin Eastman, Kevin Parution le 27/02/2013
Lui, j’ai mis longtemps à l’acheter. Et je comprends mieux
maintenant que je l’ai lu. Andy Kuhn, le dessinateur, dessine avec son pinceau
coincé dans l’anus.
Puis il scan le tout avec son vieux PC 386 sx15 (2 Mo de
Ram), et fignole le tout avec la béta version de Paintbrush. Je me suis fait
violer la rétine. ‘Rarement vu un illustrateur aussi merdique. Désolé d’être
méchant avec toi Andy, mais quand on lache 18 euros dans une BD (merci Soleil pour le
prix 3 euros plus cher que les concurrents…), on aimerait avoir à faire à un
pro du pinceau. Pas au stagiaire de troisième...
Vous ne le saviez pas? Splinter est un poney tombé dans le mutagène...
Heureusement, l’histoire est bien… Le méchant de l’histoire
est Slash. Non, pas le guitariste des Guns, mais la tortue mutante super
méchante.
Conclusion
La nouvelle série est très bonne (et cher! 18 euros, je l'ai encore en travers pour 128 pages...), et je prie le dieu des Geeks pour qu'ils dégagent Kuhn du dessin pour l'hypothétique volume 5.
Putain, j'ai plus de pièces de 10 balles... J'vais regarder sous la machine!
Résumé éditeur
"Défendez votreroyaume...PourDieuetla Castille!
Lacomplainte d'unejeune sorcièrequi a été transformée par des démons... GuidezDonRamiroà travers les terresmauditesdeTolomeraetexpulsezle mal quiest entré dans leroyaume de Castille!
MalditaCastillaestun jeu d'arcadeet d'action, prenant ses racines dans les mythesde l'Espagneetdu restede l'Europe. Le style graphiqueestbrut, faitavec unepalette de couleurs limitée, comme dans l'ancien temps, simulant les anciens écrans. La musiquea été composée avec une émulationde la pucesonoreYamahaYM2203, afin que le jeu est un rendu sonore typé "arcade".
Ilrend hommage àdes classiques du jeu d'arcade (1985-1987), commeGhost'n'Goblins, TigerRoad,Black Tiger, Shinobi, Rygar,Karnov, cheval de Troie etbien d'autres ...Puisant ses influencesdans la peintureet des lieuxmédiévaux, Maldita Castilla est inspiré parle meilleur récitdechevaleriejamais écrit : Amadis de Gaule."
Source, mais traduit par moi-même: http://www.locomalito.com/
L'avis du VieuxGeek: god save the Castille
Oui, je dis carrément oui. J'en avais plein les miches des jeux où il fallait passer 3 heures avant d'attaquer un début de scénario. Et les cinématiques à rallonge... Dans Warcraft 2, c'était bien. Maintenant, j'en profite pour préparer ma bouffe à emmener au boulot. Et je commençais à avoir fait le tour de mes jeux favoris en émulé. Que faire? Simple: télécharger gratuitement Maldita Castilla!
On est très proche d'un ghouls and ghosts / Ghosts and goblins de part l'ambiance et le gameplay. En un peu moins dur, faut pas déconner (même si on en chie tout de même dans Maldita Castilla). La jouabilité? 2 boutons. Sauter, et tirer des trucs. Parfait! 5 ans sur la Xbox, et je confonds toujours RB et RT. Donc, vert je saute, bleu je tire... En route, papi! J'appui sur start (putain, une troisième touche. Vais-je m'en sortir?), et je vais crever dans tous les recoins de tous les niveaux pendant une bonne heure.
Ce que j'aime, c'est refaire le niveau 1 et 2, crever, refaire le niveau 1 et 2, crever, arrêter l'ordi. Refaire le niveau 1 et 2, crever, refaire le niveau 1 et 2, crever, oui j'arrête c'est lourd. Mais ça me rappelle l'époque bénie des 8 et 16 bits... Bon, j'exagère un peu parce qu'ici, les continus sont infinis...
La bande son est bien sympa, et j'adhère carrément au design du jeu. Les mondes sont bien ficelés, les boss originaux.
Boss de meeeeeeerde!
Conclusion Louper un jeu gratos aussi bien? Surtout pas! C'est ici que ça se charge:
En planifiant l’évasion de tous les criminels
de l’asile d’Arkham, Bane exécute le premier mouvement d’un plan minutieusement
pensé. Son objectif est simple : détruire physiquement et mentalement le Chevalier
Noir. [SPOILER] Acculé, exténué, Batman est contraint de faire appel à ses dernières
forces pour finalement s’avouer vaincu, pour la toute première fois. [FIN SPOILER]
N.B: Ils sont sans pitié les éditeurs, ils nous spolient la fin directement dans le synopsis!
L’avis du VieuxGeek: bien
Ce
qui est bien avec cette saga Batman, c’est qu’elle permet à tous ceux qui ne
sont pas familier avec l’univers Batman de raccrocher les wagons. Le synopsis
de base (cf. résumé) nous amène à rencontrer tous les vilains principaux de la
série (Poison Ivy, le pingouin, le joker, l’épouvantail, Amygdale, le ventriloque,
le sphinx, le chapelier fou, killer croc, Zsasz, Stirk, Firefly, Maxie Zeus…),
ainsi que le petit nouveau de l’époque (les 90’s) : Bane. On reste donc
dans les sentiers battus, mais c’est de bonne facture (en gros,Batman rencontre un vilain par chapitre).
Le
dessin est… normal. Plus « typé-comics » tu meurs. Ce n’est pas ce
qui attire en premier quand on ouvre le bouquin pour la première fois (c’est
vrai que sur les étagères des libraires, il est rangé à côté de la
cour des hiboux…). Honnêtement, c’est même un peu repoussant...
Mais
il y a un sacré paquet de pages (franchement, le ratio prix/pages est tout à
fait honnête), et on se plonge dans l’univers avec plaisir. Les chapitres s’enchainent,
et on attend gentiment que Batman [SPOILER] se fasse péter les dents par Bane.
[FIN SPOILER]
Allez Batman,
bute-le ce clown !
Conclusion
Un
album « classique ». Ca tombe bien, il appartient à la collection « DC
Classique ». Bref, vous voyez ce que je veux dire.
Un
bon Batman, mais beaucoup sont mieux ! Pour les collectionneurs ou les
fans de Bane.
Empereur de l’antique île aux Dragons de Melniboné, Elric,
albinos et malade, règne sur un peuple plurimillénaire à la puissance héritée
des dieux. Mais sa santé fragile l’oblige à user de drogues et de magie pour
survivre. Son cousin Yyrkoon, qui méprise ces faiblesses, tente de remettre en
cause sa légitimité à posséder le trône de rubis. Apprenant qu’une attaque de
pirates sanguinaires se prépare, Elric saisit l’occasion pour tenter de
restaurer son autorité. Il va révéler ainsi une personnalité complexe, mais
aussi son allégeance aux sombres desseins d’Arioch, le plus puissant des
Seigneurs du Chaos…
Bon, on ne va pas y aller par quatre chemins : cette
B.D est un putain de chef d’œuvre. J’avais lu il y a un paquet de temps déjà le
cycle d’Elric , et
je dois bien avouer que je préfère quinze fois son adaptation en B.D (je sens
des puristes réticents…).
D’emblée, on s’en prend plein les yeux. Tout est grandiose, les illustrateurs ayant fourni un travail sans fautes (bien joué les gars !). On
(re)découvre Melniboné la décadente dans toute sa splendeur et son horreur,
ainsi que des personnages hauts en noirceur tel que l’infâme docteur Jest.
Les auteurs parviennent à bien faire ressortir le caractère
ambigüe du héro éponyme (ou anti-héro, c’est selon), aux travers de scènes bien pensée (notamment les rencontres avec son frangin Yrkoon).
Au niveau mise en page, on tape dans le grandiose et
l’épique. La bataille entre les Melnibonéens et les barbares dans le labyrinthe
suffit à convaincre. On dirait des pages des Chroniques de la lune noire ou de
Requiem, avec peut être même plus de talent. C’est peu dire ! (Bon, ok ils
sont trois dessinateurs à faire Elric, alors qu’Olivier Ledroit se débrouille
seul comme un grand...). Et
que dire des rencontres entre Elric et les différentes entités plus ou moins
démoniaque ? En un mot ? Fantastique.
Conclusion
Je suis fan. Tout autre commentaire serait inutile.
La suite, vite !
N.B: Julien Blondel est un auteur plein de talent. Il a participé à l'écriture de tas de JDR que j'adore (Polaris, L5R, Dark Earth....). C'est un bon, je vous l'ai dit!