dimanche 8 décembre 2013

Lobster Johnson - Tome 1 - Le Prométhée de fer



Fiche technique

Scénario: Mike Mignola
Dessin: Jason Armstrong
Editeur: Delcourt
Collection: contrebande
Série: Lobster Johnson (Univers de Hellboy/BPRD)
Date de parution: 19/06/2013
Prix: 15,50 €


Résumé éditeur

Alors que les États-Unis d'Amérique sont à la veille de faire leur entrée dans la Seconde Guerre mondiale, Lobster Johnson, dit le Homard, accompagné de ses alliés, est occupé à combattre cannibales, yétis et autres monstres, tous plus dangereux les uns que les autres. Sans compter les plans diaboliques d'un mystérieux ennemi qui semble suivre les commandements nébuleux d'une prophétie séculaire.

Source: http://www.editions-delcourt.fr/catalogue/comics/lobster_johnson_1_le_promethee_de_fer

On dit "What you want to do", gros naze.

L'avis du VieuxGeek: sympa  :) 

Lobster Johnson, alias Johnson le homard pour ceux qui ne connaissent pas leur anglais, nous narre les péripéties dudit héros dans le New York de 1937. Le homard se veut être un héro à la sauce pulp, c'est à dire populaire et pas trop prise de tête. 

Concernant l'aspect pulp, c'est surtout au niveau des ennemis du homard que l'on tape dans le folklore populaire: gorille mutant, nazis vilains, et un Fu Manchu nostalgique de l’hyperborée. 
Le perso de Jim Sacks (avec son armure Iron man version hyperboréene) est vraiment bien réussi, et, personnellement, j'ai hâte de savoir comment il évoluera dans la série. 

Le homard est plutôt du genre expéditif, n'hésitant pas à trouer les crânes des ennemis. Beaucoup d'action dans ce tome, une histoire pas complexe (mais pas simpliste pour autant, donc très bien!), des illustrations à la Guy Davis/BPRD mais sans être du Guy Davis (dommage...). 

Il faut bien avoir en tête que cet album n'explique rien des origine de Johnson. Peut-être dans un numéro futur, qui sait? 

Ha oui, un gros point positif: c'est une histoire longue, qui nécessitera une suite. Ca tombe bien, j'ai vraiment du mal avec les histoires courtes Hellboy/B.P.R.D, fréquemment merdiques (oui, je suis dur).

Iron M... Euh... Jim Sacks dans son armure faisant la peau à un dragon.

Conclusion 

Une bonne histoire (pas transcendante non plus), un univers qu'on aime, un héro qui marque ses ennemis vaincu d'une pince de homard au milieu de la courgette, un début de saga. 

A lire si vous avez fini votre collection de B.P.R.D.



Que dieu vous bénisse, vous et les États-Unis d’Amériques.

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