vendredi 27 mars 2015

Le Geek, sa Blonde et l'Assassin


J'suis trop déçu: le carlin n'apparait pas dans l'histoire.


Fiche technique

Titre: Le Geek, sa Blonde et l'Assassin
Auteur: Cheng Kin-Wo
Editeur: Akata
Date de sortie: 29/01/2015
Prix: 13.50 €
Nombre de pages: 128
Collection: WTF?!


Résumé éditeur

À 19 ans, Kin-wo mène une vie (presque) parfaite : il dessine des mangas pour des fanzines (même s'il n'arrive pas à être publié chez un éditeur), et sort aussi une fille super sexy. Mais ce quotidien va déraper très vite quand, par mégarde, il tue involontairement son meilleur pote ! Pour ne pas finir ses jours à croupir en prison auprès de codétenus douteux, Kin-wo va devoir réfléchir, et vite ! Le voilà donc à surfer sur le web, pour chercher comment se débarrasser d'un cadavre, sans faire trop d'éclaboussures. La mignonne Mary se propose de l'aider mais… est-elle vraiment la fille qu'elle prétend ? Mensonges, trahisons, amitié perdue, humour caustique, meurtres et autres projections ne sont qu'un petit aperçu de ce qui vous attend dans ce récit !

L'avis du VieuxGeek: cool

 Après avoir été traumatisé par la lecture du d'ores et déjà cultissime Lady Boy VS Yakuzas, je me suis lancé dans celle cette BD hongkongaise qu'est le Geek, sa Blonde et l'Assassin. Et je me suis bien marré. Pas autant que dans Lady Boy, mais pas mal quand même. 
On suit donc la merdique vie de Kin-Wo qui bute par mégarde son meilleur pote (pas de spoil, c'est la première page), et qui tente par tous les moyens de se débarasser de son corps. La BD est clairement humoristique, même si l'auteur (dans l'interview de fin de livre) semble vouloir aborder le thème complexe des relations sociales (houlà c'est trop chiant ça!).
Le scénario du livre s'articule autour des trois personnages et de leur relation avec le cadavre de la page 1, chacun ayant un point de vu bien défini sur la marche à suivre pour tirer son épingle du jeu. Même si a première vu le scénar' parait léger, il est habilement mené et se conclut de manière très satisfaisante. Le tout est découpé en trois actes, chacun mettant en avant un des personnages.

Et ouais, il va falloir nettoyer toute cette merde maintenant!

Les personnages sont tous très bien. Le geek est un geek, la blonde est une pure conasse comme on en fait plus et l'assassin est un putain de sociopathe. Niveau dessin, c'est très soigné: joli trait, belles couleurs, découpage des cases pas exceptionnel mais sympa... Bref, un quasi-sans faute.  Il n'y a pas vraiment grand chose à reprocher à ce livre!


Conclusion?

Je n'avais jamais lu ce format bâtard comics/manga façon HongKong. Les quelques BDs chinoises que j'avais lues été vraiment nulles à crever. Celle-ci est vraiment sympa (les hongkongais sont peut être moins coincés, qui sait?).

A recommander pour les amateurs de BDs bien décalées et underground.

"Dans la cinquième période de cinq cents ans après ma mort, accomplissez kosen-rufu dans le monde entier et ne laissez jamais son flot tarir." (C'est toujours plus sympa de terminer par une citation qu'on comprend pas).

mercredi 18 mars 2015

Magical Girl of the End T.1


 
Les cosplayeuses ont trouvé leur nouveau costume pour la japan'expo de cette année!
Fiche technique
Editeur(s): Akata
Auteur: Satô Kentarô
Collection: WTF
Date de sortie: 28/05/2014
Format: 112 x 176 mm (S)
Prix: 6.95 €
Nombre de pages: 208

Résumé éditeur

Kii Kogami est un lycéen que tout ennuie... même ses potes ! Débonnaire, il prend malgré tout la vie comme elle vient, même s'il se dit qu'elle serait peut-être un peu plus excitante s'il arrivait à sortir avec une nana sexy... Mais ça, il ne le saura jamais ! Car son quotidien va basculer dans l'horreur quand une drôle de fillette armée d'une « adorable » baguette magique, va défoncer la tête de son prof de sport ! En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, le lycée tout entier va être massacré... et les rares survivants vont devoir fuir pour survivre ! Mais hélas, c'est tout le Japon qui semble être envahi par ces magical-girls ultra-violentes et sadiques ! D'où viennent-elles ? Quelle est la véritable raison de leur apparition et... Non, tout ça, pour le moment, Kogami s'en fout ! Pour l'instant, il lui faut juste survivre ! Mais comment y parvenir quand les « zombies » qui vous poursuivent ont des super pouvoirs ?!


L'avis du VieuxGeek: wait and see, mais ça s'annonce pas mal.

Les magical-girls ont décidé de foutre le japon (et peut être la Terre) en l'air. Et elles ont bien raison! Surpopulation, pollution, religion, tout les trucs qui finissent en -ion disparaitront! Mais je m'égare.
Dans ce premier volume, on prend la température, et se ressemble un peu trop à un survival banal avec des magical-girls (mais pas tout à fait celle de cette FAN-TA-STIQUE vidéo). Donc, franchement, j'attends de voir le T.2 parce que pour l'instant le n°1 ne m'a pas motivé outre mesure (surtout comparé au fantastique Lady Boy vs Yakuzas quelque part critiqué sur ce blog).


"Je vous préviens, c'est une véritable boucherie à l’intérieur. " -Commissaire Bialès.


Les persos sont là pour crever les uns après les autres, genre encore plus vite que dans le trône de fer. Pour l'instant, ils n'ont rien de charismatique. Ils auraient pu mettre n'importe qui d'autre que rien n'aurait changé.

Niveau dessin, on a affaire à un manga classique et bien fait. Pas de quoi s'affoler, ni en bien ni en mal. La mise en page est bien dynamique, les scènes sont lisibles... Bref, ça passe largement.

Concernant l'histoire, rien n'est developpé (ou presque) dans ce premier volume. Paraitrait que ça décolle par la suite. On verra bien.

L'atmosphère est très glauque, marrante, sanglante. Cool.


En conclusion

Un premier volume honorable (sans plus), mais disposant d'un speech de départ tout à fait original. Tout dépendra des prochains volumes!


L'époque de Sailor Moon est belle et bien révolue!

samedi 14 mars 2015

Ladyboy vs Yakuzas, l'île du désespoir T.1




Fiche technique

Editeur(s): Akata
Auteur: SAKURAI Toshifumi
Date de sortie: 26/02/2015

Format: 127 x 180 mm (M)
Prix: 7.95 €
Nombre de pages: 192
Collection: WTF

Résumé éditeur

Kôzô Kamashima était un jeune yakuza plein de potentiel. Oui, mais voilà… Ce jeune premier a eu la trop mauvaise idée de coucher avec la fille ET l'épouse de son big boss. Et comme tout se sait, chez les mafieux… Le parrain japonais, fou de rage, décide alors de se venger, et sa punition est terrible : de force, il fait opérer le pauvre Kôzô, pour lui retirer… ses bijoux de famille ?! Devenu transsexuel malgré lui, Kôzô est ensuite envoyé sur la pire île du monde entier : l'île du désespoir absolu, où vivent reclus des yakuzas sans foi ni loi. Ces derniers, privés depuis des années de présence féminine, voient en l'arrivée de « la » pauvre Kôzô un signe du destin : enfin, ils vont pouvoir assouvir leurs pulsions sexuelles. Dès lors, commence une terrible course poursuite entre Kôzô - pas encore habitué(e) à son nouveau corps - et une bande de dégénérés fous furieux prêts à tout… Y compris à s'entretuer !

L'avis du VieuxGeek: Fan

Sur le petit bandeau en papier entourant la couverture du livre, il y a avait un commentaire de Mad Movies "Brillant. Punk. Hilarant." Il n'en fallait pas plus pour qu'un couillon comme moi se fasse attraper! Et c'est sans regret.

Le synopsis de l'histoire est absolument génialissime: "Il était une fois cent pervers en slip lancés à la poursuite d'un transsexuel malgré lui...". Osez dire le contraire et soyez maudit pour les 666 prochaines générations! Lady Boy est donc une sorte de survival où le héro (c'en est vraiment un? Une?) tente de sauver ses fesses, car le big boss (du résumé) a promis de sortir de l'île le premier taré qui parviendra à ... Violer Kôzô. Amateur de bon goût, bonjour! Vous êtes tombé sur le bon livre. Âmes sensibles, fuyez et retourner lire Blanche Neige.

Les personnages sont vraiment excellents, entre le boss pervers yakuza qui n'a jamais baisé sa femme durant 18 ans, l'abominable Kôzô, héro(-ine) de l'histoire préférant penser avec sa teub dont il était particulièrement fier, les 100 pervers pépères, tous plus crados les uns que les autres... Le soin apporté au dessin de tout ces affreux lubriques est tout bonnement incroyable, chaque détail est croustillant, immoral, dégueulasse... Entre ceux qui sont des accrocs de la branlette se frottant sur tous les palmiers, les masochistes qui disent aux autres "soit doux avec moi s'il te plait", on ne sait plus où donner des yeux tellement les détails fourmillent. 

Les pervers ont des compétences insoupçonnées, comme un odorat de chien!


Et chose surprenante, on pourrait croire qu'avec un speech comme ça, l'histoire sera torchée en 2 volumes. Mais non! On veut savoir la suite! Et on sent que le potentiel et bel et bien là! Le boss yakuza fait tout son possible pour torturer la pauvre Kôzô et ses nichons proéminents. Faut dire que le boss est motivé: il s'est promis de niquer sa femme dès que Kôzô aura été humilié(e) à outrance.

Dans la postface, le dessinateur dit avoir 20 ans de boutique derrière lui. Je veux bien le croire! Ce mec est tout simplement incroyable, je crois que je vais lui envoyer une lettre d'encouragement tel un fan. Rien à dire, sinon "félicitation" en japonais.


Conclusion 

Dans cette ambiance de survival pour protéger son cul (au sens premier), où l'humour est omniprésent, où les dessins sont beaux, les persos travaillés, comment ne pas être impatient de savoir la suite, hein? Je vous le demande!

Un putain de manga complètement déjanté,d'ores et déjà culte!

dimanche 8 mars 2015

L'attaque des titans

Chérie, on frappe à la porte!
Fiche technique manga

Titre original : Shingeki no Kyojin
Dessinateur : Isayama Hajime
Scénariste : Isayama Hajime
Editeur: Pika édition
Prix du livre: 6,95€
Nb de volumes parus: 11
Nb de volumes prévus: 14 sur (environ 20 selon wikipedia)

Fiche technique de l'animé

Réalisateur: Tetsuro Araki
Producteur: Tetsuya Kinoshita
Scénariste: Yasuko Kobayashi
Studio d'animation: Wit Studio; Production I.G  
C'est l'heure de l'apéri-cube.

L'avis du VieuxGeek: très très bon tout ça.

Ils sont gros, ils sont moches, et ils veulent bouffer des humains. Et en plus on ne sait pas pourquoi. L'histoire, simple au premier coup d’œil, reste simple au second. Mais on crève d'envie de savoir la suite, tant le suspense est prenant... Les volumes papiers s'enfilent comme des chips à l'heure de l'apéro et en plus ils ne sont pas trop cher (pas comme chez ces conn... des éditions Panini. Ils nous ont raquetté toute notre thune à l'époque des cartes de foot à collectionner, ils ne me la feront pas à l'envers!). On suit Eren Jäger et deux de ses acolytes (Armin et Mikasa) dans leur évolution au sein de l'armée, avec tout les complots qui vont avec (peuple vs église vs état vs armée). Les secrets concernant les titans sont lâchés au compte goutte, et on en découvre un petit peu à chaque volume, le tout savamment dosé. On n'est peut être pas au niveau de 2Oth century Boy niveau suspense, mais on s'en approche (le volume 8 m'a troué le ionf)... Et quelle plaisir de voir les persos se faire massacrer les uns après les autres! Une boucherie cradingue sans fin... On a l'impression d'être dans le Trône de Fer où chacun peu crever au prochain paragraphe (bien qu'il parait peu probable de voir le héro crevé avant le dernier volume). C'est vraiment chouette.

Lâche-le! Ce gars n'est pas un micro!

On ne sait pas trop où l'auteur nous emmène, bien qu'on se doute que les titans (SPOILER PEUT ÊTRE!) sont en réalité des foirages d'expériences humaines et que le père Jäger n'est pas étranger à tout ce merdier (genre: mais tu comprends mon fils, c'est parce que les humains sont méchants et que seul un ennemi commun les rapprocherait (Cf. Watchmen)).

Je ne l'ai pas acheté au départ, car le dessin est franchement merdique. Faut dire ce qui est. Peut être l'auteur est un noob du dessin avec une putain d'histoire. Il faut donc dépasser ça, on le regrette pas.

POUR L'ANIME, rien à dire au niveau animation/qualité/fidélité. Très bien. 
Seul point négatif, les sentiments de terreur des persos sont décrit pendant trente plombes à chaque fois, et c'est franchement chiant. Mais bon, on regarde sans problème.

Pour conclure

Enfilez votre harnais de manœuvre tridimensionnelle et bondissez chez le libraire. Demmerdez-vous pour chopper l'animé sur le web, c'est pas trop difficile.










samedi 7 mars 2015

Feng Shui

La couverture la plus moche jamais créée.


Fiche technique


Titre : Feng Shui 
Version : deuxième édition 
Type d'ouvrage : Livre de base 
Editeur : Oriflam 
Langue : français 
Date de publication : décembre 1999 
Disponibilité : Paru
Auteur(s) : Robin D. Laws



L'avis du VieuxGeek: le meilleur jeux de rôle de la création.

Alors non, je ne m'emballe pas: Feng Shui est bel et bien le meilleur JDR jamais créé. Pourquoi? me direz-vous, MAIS POURQUOI? Patience, je vous fais un argumentaire pas trop chiant:

POURQUOI FENG SHUI EST-IL LE MEILLEUR JEUX DU MONDE?

1) Parce que les règles, elles sont faciles à comprendre. Créer un personnage prends maximum 15 minutes.

2) Parce que l'univers, ou plutôt le multivers (plein d'époques imbriquées les unes avec les autres) permet de faire tout et surtout n'importe quoi: des Nazis, des sorciers chinetoques comme dans Jack Burton, des cyborgs de combats, des gorilles modifiés, jouer l'équipe des goonies...

C'est comme ça qu'on monte dans les trains à Feng Shui! Seuls les tapettes passent par la porte.


3) Les règles sont tellement simplistes, que le MJ a toute latitude pour les plier dans tous les sens. C'est tellement remplis de coquilles qu'on fait tout à l'instinct. En quoi est-ce bien? On s'approprie le jeux comme aucun autres.

4) Les scènes résultant de tout ça sont spectaculaires, dignes de toutes les intros des films d'actions, de tous les meilleurs finish possibles. Baston à bout de bras accroché sous un hélico, Poursuite dans un immeuble en feu qui s'écroule, infiltration dans des navires de pirates pour casser la gueule du boss...

5) Ce qui pour moi est la révolution dans les JDR: la notion de sbires et de persos uniques.
- Les sbires ont des caracs de merdes, et pas de points de vie. En gros ont les touches et ils valdinguent dans la première baie vitrée à portée de coup de pied retourné dans la tête. On les attaque par poignée de 5. Comme dans les films où les héros se tabassent 30 connards et sans sortent en transpirant à peine.
- Les boss sont coriaces, et les pouvoirs proposés sont biens. Avec un minimum d'XP du MJ, on les invente à chaque fois.

Une scène typique. (LE MJ): 15 types en cagoules avec des haches sont devant vous. Ils ont l'air de vouloir vous buter. (UN PJ): Je saute dans le tas les deux pieds devant en m'accrochant au porte bagage.



6) Je m'arrête là mais j'en pense pas moins.

Bon, le point négatif est sans équivoque: le visuel du livre est une hérésie. Une merde quoi. Franchement, j'ai longtemps hésité à m'y mettre à cause de la sale gueule lu livre de base. Les coquilles (traduction, règles) sont monnaies courantes. Mais on force et ça passe.


La description du jeux (merci legrog.org!)

Vous aimez John Woo, Tsui Hark, ou Matrix ? Réjouissez-vous ! Feng Shui, le jeu où l'on peut s'accrocher au toit d'une voiture d'une main tout en mitraillant des hordes de ninjas de l'autre, existe. Vous en aviez assez des temps morts dans les parties, de la gestion de munitions et d'équipements, du parti-pris de réalisme qui vous empêchait de tenter les actions les plus folles ? Avec Feng Shui, il n'y a plus que deux soucis : le rythme et le ressort dramatique des parties. Ainsi, les personnages ne sont jamais à court de munitions, sauf quand le scénario l'exige, parce que cela nuit au déroulement de l'histoire.
Dans ce jeu, il s'agit de simuler, non pas la réalité, mais l'ambiance des films d'action, et en particulier ceux de Hong Kong. Feng Shui n'est un jeu ni parodique, ni humoristique. Il réutilise la trame et les clichés des films d'action, dans un but simple : retrouver le même plaisir à jouer qu'à regarder des films de Jackie Chan ou de Bruce Lee.
Le décor du jeu de rôle découle d'une idée unique : caser ensemble tous les personnages du cinéma de Honk Kong. Le background fait donc se télescoper allégrement moines shaolin, sorciers, tueurs, ninjas, cyborgs, vampires, et même vampires-cyborgs-ninjas. Le mélange pourrait paraître indigeste, mais la Guerre Secrète rend tout cela possible et même jouable : un petit nombre de sociétés secrètes se disputent le contrôle de lieux possédant un flux puissant de chi (le fameux feng shui), situés principalement en Asie. L'enjeu du contrôle de ces lieux est non seulement la maîtrise du monde, mais aussi celle du temps. En effet, des ouvertures existent qui permettent d'aller et venir par des "fenêtres" ouvertes sur quatre époques différentes : 69 ap. J.C., 1850, 1996 et 2056. Cette lutte occulte à travers le temps est la justification du chassé-croisé des aventuriers de tous les genres.
La base du système de jeu consiste à additionner une caractéristique, une compétence et la valeur de deux dés à six faces, un positif et un négatif. La marge de réussite ou d'échec permet ensuite de qualifier le résultat de l'action. La résolution des combats repose sur les "schticks" des personnages ("trucs" en argot américain, regroupant les sorts, les techniques de kung-fu, les pouvoirs surnaturels, etc.) et les "stunts", les cascades originales décrites par le joueur et qui enjolivent le combat. Les ennemis sont de deux types : les personnages avec un nom, qui sont souvent des ennemis récurrents, et les personnages secondaires qui ont eux tendance à tomber comme des quilles lors des combats.
Inspiré du jeu de cartes à collectionner Shadowfist, le jeu a connu deux éditions en anglais. Il n'existe aucune différence de background ou de règles entre la première et la seconde édition. Le jeu a juste changé d'éditeur, le premier ayant fermé ses portes. Tous les suppléments de la première édition sont donc utilisables pour la seconde.
Par ailleurs, un scénario d'introduction utilisable tant avec Feng Shui que DD3 existe, Burning Shaolin, publié dans la gamme "Coriolis" d'Atlas Games en VO, et traduit par Oriflam.


Conclusion

Ca fait maintenant plus de 10 ans que je joue plus ou moins régulièrement à ce putain de jeu. Et vous savez quoi? J'y joue cette aprem. Jamais lassé. Franchement, vous connaissez beaucoup de jeux comme ça vous?